Je ne suis pas comme les autres femmes. J’aime me réveiller le matin et sentir le bâton dur de mon mari collé sur mes fesses. L’une de mes habitudes préférées le matin consiste à jouer doucement avec ses boules, pincer son gland et en sortir de minuscules perles de sperme. S’il ne se réveille pas, je me glisse vers le bas de son corps et je suce son pénis tout mou.
Il prétend habituellement dormir, mais je sais qu’il fait semblant pour que je continue mon fantasme. J’adore, aussi, le regard et le visage surpris qu’il me fait en ouvrant les yeux. Il connaît mes habitudes mieux que quiconque, ou du moins il pense les connaitre.
Honnêtement, la masturbation matinale est la meilleure. Autant j’adore le faire pour mon mari, j’adore aussi me le faire à moi-même et sentir ma chatte humide. Avec chaque perle de sperme qui touche mes doigts, ma chatte goutte et se serre. La plupart du temps, j’essaie de le repousser pour qu’il se lève tôt, sort du lit et me laisse seule.
De tous mes martins préférés, l’un, en particulier me vient à l’esprit. Il y a environ trois mois, je me suis réveillée juste avant que mon jouet sexuel préféré ne le fasse. Comme d’habitude, je pouvais sentir sa bite légèrement dure pressée contre moi. Heureusement, il a roulé sur le dos juste au moment où j’ai tiré les couvertures.
Je regardais sa bite en soulevant doucement la couverture. Je me suis approchée et j’ai saisi son puissant bâton. La chaleur de ses boules m’a excitée. Il n’a pas fallu longtemps pour que les premières gouttes de jus n’atterrissent sur ma main. Son corps a bougé alors que je pressais la base de son pénis.
J’ai vu ses yeux commencer à bouger. J’ai accéléré mes coups pour le réveiller. Ce matin-là, je savais qu’il devait être au bureau plus tôt que d’habitude. Au moment où il ouvrit les yeux, il m’a tenu la main.
« Autant j’aimerais te laisser finir, mais je dois partir », dit-il.
Il se glissa hors du lit et entra dans la salle de bain. En l’entendant s’assoir sur le siège des toilettes, j’ai glissé ma main couverte d’un peu de son liquide sur ma chatte chaude. Malheureusement, ma chatte est toujours rasée comme le veut mon homme. Perso, je préfère quand il y a un petit buisson dessus pour pouvoir le caresser et stimuler encore plus mon clitoris.
Étant encore dans la salle de bain, cela m’a laissé environ dix minutes seule au lit pour me faire plaisir. Pour la plupart des filles, dix minutes en solo semblent plus que suffisantes. Mais comme je l’ai déjà dit, je ne suis pas comme les autres filles. Dix minutes pour moi suffisent à me réchauffer. Quand je suis seule, j’aime faire les choses lentement. Quel est l’intérêt d’être une femme au foyer si on ne peut même pas jouer avec sa chatte toute la journée ?!
Je pourrais attendre qu’il termine sa douche et s’en aille au travail, mais j’étais tellement excitée. Une fois que j’ai entendu le bruit de l’eau sous la douche, j’ai commencé à tourner mon index sur mon clitoris. J’ai adoré les sensations qui traversaient mon corps. J’ai posé ma tête en arrière et j’ai fermé les yeux. J’ai massé mes lèvres désireuses, me servant de l’élixir qui coule de mon vagin pour les mouiller. Inconsciemment, mon majeur s’est enfoncé dans ma chatte pour atteindre mon point G, une zone que j’ai réussie à trouver depuis quelques temps.
J’ai senti une étincelle soudaine traverser ma colonne vertébrale. Les sons dans la pièce se sont évanouis, tout ce que j’ai pu entendre était ma respiration. Mon corps se tortillait et tremblait alors que je me battais pour contrôler ma respiration. De longues inspirations profondes ainsi que mes propres gémissements doux m’ont mis en transe.
Au fur et à mesure que mon doigt tourbillonnait dans mon vagin, mes hanches sursautaient à chaque mouvement. Toute mouillée, j’ai pris ce que j’ai pu de mon jus et je l’ai mis dans ma bouche. Ma langue était couverte de ce jus terriblement bon, fruit de tout le plaisir que je ressentais. Je luttais pour ne pas crier de plaisir. J’ai utilisé ma main libre pour couvrir ma bouche.
J’ouvris doucement les yeux et j’ai vu mon corps couvert de sueur. La chaleur sous les couvertures combinée avec celle de mon extase était comme celle d’un hammam. Avec chaque frottement contre mon point G, plein de liquide sortait de ma chatte. Ma main était trempée, rendant la masturbation glissante et chaude.
Je n’avais plus aucun contrôle sur mon corps. Alors qu’il sort tout juste de la douche, mon mari me voit dans cet état d’extase total. J’avais les yeux fermés, une main sur la bouche et l’autre entre mes cuisses et je n’avais qu’une seule envie : lâcher un cri et éjecter tout le jus qui inondait mon vagin.
Tout à coup, j’ai senti un courant d’air froid sur ma peau. Il avait enlevé la couverture et s’est mis sur moi. Il m’a libéré la bouche et a enfoncé sa langue dedans. J’ai léché doucement ses lèvres et sucé sa langue comme si je suçais sa bite. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il colle sa bite sur mes lèvres. Je ne sais pas si c’était l’effet du plaisir intense ou s’il a pris une pilule avant de se jeter sur moi, mais je sentais que sa bite était un peu plus grosse que d’habitude. Sa circonférence était plus grande et plus dure et je pouvais à peine la mettre dans ma bouche.
Encore plus surprenant, il était agressif. Il me tenait le cou et grogna alors qu’il l’enfonça profondément dans ma gorge. Habituellement, mon mari était doux et gentil. Ce jour-là, il m’a baisé comme un vrai homme. Après m’avoir baisé la bouche, il s’est dirigé vers ma chatte toute mouillée et prête à exploser. En missionnaire, il a écarté mes jambes, enlevé ma main et enfoncé directement et rapidement sa queue dans mon vagin. Naturellement lubrifié, son pénis a littéralement glissé complètement dedans.
Chaque fois qu’il le ressortait pour l’enfoncer de nouveau plus profondément, plein de liquide en sortait et coulais entre mes fesses jusqu’à sur le matelas qui était déjà bien humide. Sauvagement, il me défonça la chatte, me transformant en une vraie femme fontaine. Je criais et gémissais sans cesse, ne voulant, et ne pouvant, plus me retenir. Soudain, j’ai poussé un énorme cri : comme sa bite était bien mouillée, il l’a ressortie de mon vagin mais l’a enfoncée dans l’autre trou, mon cul ! C’était ma première sodomie.
Voyant que j’aimais ça, il a continué à me baiser le cul pendant quelques minutes jusqu’à y éjaculer. Une grosse creampie anale et plein de sperme sortait de mon anus dilaté. C’était ma meilleure matinée sexe !
FIN