Trio avec ma femme et sa soeur et éjaculation interne à volonté !

Trio avec ma femme et sa sœur et éjaculation interne à volonté !

En entrant dans la cuisine, j’ai trouvé ma femme penchée vers la dernière étagère du réfrigérateur, son joli petit cul me faisant face. Comme je l’ai fait plusieurs fois auparavant, j’ai passé mes mains sur son cul et elle ne réagit pas alors j’ai tendu la main sous sa minijupe et j’ai baissé sa jolie culotte rose. Sans plus tarder, j’ai enfoncé un doigt dans sa chatte pour vérifier si elle était mouillée et prête à m’accepter, et elle l’était. Alors j’ai sorti ma bite toute raide et je l’ai glissée dedans. Je l’ai vue saisir la porte du réfrigérateur et une étagère pour se stabiliser. J’étais vraiment bien excité et bien dans l’action quand j’ai entendu une voix familière dire : « Sandra, n’oublie pas les cornichons ? »

J’ai immédiatement tiré ma bite de Sandra et j’ai commencé à m’excuser quand elle m’a chuchoté : « s’il te plaît remets-là, ne t’arrêtes pas ! »

Quel dilemme. Maintenant que je savais que Sandra n’était pas ma femme, ça serait tromper la mienne si je continue, mais, d’un autre côté, j’allais presque jouir, et Sandra aussi. Tant pis ! J’ai enfoncé de nouveau ma queue en elle et j’ai fini ce que j’avais à faire. Elle gémissait doucement et je jouissais en éjaculant dans son vagin. Sandra se leva, ajusta sa culotte et me remercia pour ce bon moment. J’ai remis ma bite à sa place et je les ai rejoints dans le jardin.

C’est à ce moment-là que j’ai réalisé à quel point elles étaient semblables. Elles faisaient toutes deux la même taille, environ le même poids et même leurs cheveux étaient de la même couleur et de la même longueur. De dos, il n’y avait aucun moyen de les différencier.

Sandra était la sœur aînée de ma femme. Elle avait trente-cinq ans et ma femme trente-quatre. Nous étions mariés depuis presque dix ans et envisageons de fonder une famille. En fait, ma femme avait cessé de prendre ses pilules contraceptives et je n’arrêtais pas de lui remplir la chatte de mon sperme pour mettre toutes les chances de notre côté.

Après le déjeuner, Sandra a immédiatement tourné la conversation sur des sujets coquins. Elle a, alors, demandé à ma femme si je la surprenais de temps en temps et, bien sûr, ma femme n’a pas hésiter à lui dire que j’étais très spontané et que je la prenais toujours au dépourvu. En effet, que nous soyons dans un magasin, dans la voiture, dans un parc désert ou même dans sa chambre d’enfance, nous n’hésitions jamais à faire l’amour.

Sandra a, alors, dit: «Je donnerais n’importe quoi pour que mon mari me mette sur la table de la cuisine, baisse ma culotte et me baise sauvagement. Mais il ne le ferait jamais ! Trop coincé… »

Et à ma grande surprise, ma femme lui a, alors, dit : « Nous devrions échanger nos maris un jour.

D’accord, mais tu ne voudrais pas de mon mari. Que dirais-tu d’un trio à la place. »

Ma femme m’a regardé et j’ai souri en montrant que j’étais partant.

J’ai pris leurs deux mains et au lieu de les emmener dans ma chambre, je les ai amenées dans le salon.

J’ai d’abord dénudé, puis déshabillé ma femme en enlevant sa minijupe foncée et sa culotte rose. Pas étonnant que je n’avais pas remarqué la différence. Puis j’ai déshabillé ma belle-sœur Sandra en enlevant sa minijupe foncée et sa culotte rose aussi. Certes, j’aurais dû remarquer la différence au niveau des hauts, l’un était orange et l’autre était bleu, mais là encore, je ne savais même pas que Sandra était là.

Complètement nus, j’ai mis de la musique et j’ai commencé à danser avec les filles. Au début, il y a eu quelques danses rapides, mais la musique s’est adoucie. J’ai tenu Sandra serrée contre ma poitrine. Nous étions mamelon contre mamelon, entrejambe contre entrejambe et mes mains étaient sur la moitié inférieure de son cul. Je l’ai, ensuite, embrassée aussi passionnément que j’embrassais ma femme. Sandra a fondue dans mes bras et je l’ai descendue sur le tapis. Ma femme m’a rejoint sur le plancher à côté de sa sœur. Ensemble, nous avons commencé à explorer son corps. Nous avons partagé sa bouche, son cou et ses seins.

Quand ma femme arriva vers la chatte de sa sœur, j’ai eu peur. Savait-elle que j’avais déjà baisé Sandra?

Sandra lui a alors dit : «Tu pourrez éviter de faire ça chérie. Ma chatte n’est pas très propre ! »

Mais ma femme a balancé sa jambe au-dessus de Sandra, s’est accroupie sur son visage et a enfoncé sa langue dans la chatte de sa sœur. Cette même chatte que je venais juste de baiser il y a une heure.

Ma femme a dit : « Mon dieu ! Sandra, tu es vraiment mouillée. As-tu été baisée récemment? »

Sandra a répondu : «Tu es mouillée aussi bébé. Penses-tu que c’est parce que nous partageons enfin le même amant ? »

J’ai juste eu à demander: «Est-ce que vous avez parlé de ça avant? »

Sandra a répondu: «Tout le temps, mais elle est vraiment possessive quand il s’agit de ta bite »

Ma femme s’est, ensuite, relevée et m’a dit: «Elle est prête pour toi mon amour. Baises-là ! Fais-la crier jusqu’à ce que les voisins l’entendent ! »

Je me suis mis sur elle, en missionnaire, nos bassins bien collés et ma bite lui défonçant la chatte comme un marteau-piqueur. Après quelques instants, elle a finalement pris une grande respiration et a crié : « Oh mon dieu ! Qu’est-ce que c’est bon ! »

Ma femme était agenouillée à sa tête et lui malaxait les ses seins pendant que je la baisais. En voyant sa sœur s’approchant de l’orgasme, ma femme a attrapé ses deux mamelons et les a tordus violemment dans une direction et Sandra cria. Elle lui a, alors, tordu les mamelons dans l’autre direction et elle a crié à nouveau, encore plus fort.

Sandra était tellement excitée et sensible que chaque pénétration et chaque pincement de mamelon la faisait crier. Ma queue était, également, bien mouillée par tout le jus qui coulait de sa chatte.

Elle nous suppliait de nous arrêter, mais ma femme ne me laissait pas jusqu’à ce que j’eusse rempli la chatte de sa sœur. Et même après une bonne grosse creampie, ma femme a continué son travail jusqu’à ce que Sandra ait perdu connaissance. Ayant eu l’orgasme de sa vie, son corps et son visage étaient tous rouges et recouverts de sueur.

Je n’ai jamais cru que je pouvais donner autant de plaisir à une femme mais avec l’aide de ma femme, je l’ai finalement fait.

Après quelques secondes, Sandra rejoignit le monde des vivants. Ses yeux s’ouvrirent, mais elle resta allongée et bien immobile sur le tapis. Elle me regarda et me dit: «Merci, j’avais besoin de ça». Elle regarda alors ma femme et lui dit: «Tu as beaucoup de chance chérie, il est incroyable». Elle frotta ses mamelons douloureux s’endormit de nouveau.

Nous avons décidé de la laisser tranquille et d’aller prendre une douche.

FIN

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